The Governor General's Canadian Leadership Conference - 2017 - La Conférence canadienne du Gouverneur général sur le leadership

Infolettre des anciens – Juin 2016

GGCLC 2015 Conference Attendees

Son Excellence le très honorable David Johnston, Président honoraire
GGCLC Manitoba Meet and Greet image

Donald Lindsay, Président de la CCGGL

Bienvenue

Les préparatifs pour l’édition 2017 de la CCGGL progressent rapidement ! La Conférence débutera le 2 juin à Whistler (C.-B.), puis se terminera à Ottawa-Gatineau le 16 juin prochain. Près de 250 participants prendront part à la Conférence. Pour plus d’information concernant le processus d’inscription, consultez le site de la Conférence.

Vous trouverez également la liste grandissante de nos donateurs provenant du secteur des affaires, des syndicats et des différents paliers gouvernementaux. Pour les intéressés, n’hésitez pas à consulter le prospectus de la Conférence. Un programme complet réservé aux anciens se déroulera à Ottawa-Gatineau les 15-16 juin 2017. Plus de détails seront envoyés aux anciens prochainement. Les comités régionaux travaillent très fort dans leurs régions respectives et si vous aimeriez vous impliquer, ou encore communiquer avec le comité régional de votre province ou territoire, vous trouverez les coordonnées de ces derniers au bas de cette infolettre.

Nous aimerions remercier tous ceux qui ont soumis du matériel pour cette édition de l’infolettre. Tous les anciens désirant partager de l’information sont invités à soumettre leurs items et photos par courriel à Zachary Weeks (édition 2012) à zachary.weeks@leadershipcanada.ca.

N’oubliez pas que tous les anciens ont aussi accès au répertoire, ainsi qu’au site web des anciens. Si vous avez besoin d’aide pour obtenir un mot de passe, veuillez nous écrire à info@leadershipcanada.ca.

Que sont-ils devenus?

GGCLC Jason Maclean photo

La CCGGL aimerait féliciter Jason Maclean (2015) pour sa récente élection en tant que president de la « Nova Scotia Government and General Employees Union ».
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GGCLC Ken Paul photo

Ken Paul (2004) propose une discussion sur la possibilité de créer un caucus formé d’anciens autochtones de la CCGGL. Aux cours des dernières années, plusieurs enjeux concernant les peuples indigènes sont devenus importants pour la population canadienne tels que les meurtres et disparitions de femmes autochtones, la Commission de vérité et réconciliation, le suicide et l’accès à de l’eau potable. Ces enjeux, ainsi que plusieurs autres seront probablement étudiés durant les voyages d’étude. En tant qu’ancien ayant bénéficié de l’expérience de la CCGGL, je souhaiterais m’assurer que les participants autochtones de l’édition 2017 et des éditions futures puissent vivre leur expérience au maximum et qu’ils puissent bien se préparer en plus d’être soutenus s’ils sont confrontés avec tout type d’inquiétude. »

à cet effet, les personnes intéressés à s’impliquer peuvent communiquer directement avec Ken Paul à ken.paul@apcfnc.ca.

Ken est directeur du secteur des pêches et des services intégrés pour l’Atlantic Policy Congress of First Nations Chiefs.

 

GGCLC Johanna Read photo

Johanna Read (2004) a procédé à un changement de carrière majeur. Après un peu plus de 20 ans à l’emploi du Gouvernement fédéral, son poste fut affecté par les récentes coupures, ce qui l’a poussée à accepter de prendre sa retraite à l’âge de 43 ans et poursuivre sa passion, celle d’écrire des récits de voyage.

Au cours des dernières années, Johanna a visité tous les continents à l’exception de l’Antarctique dans le but faire de la recherche et d’écrire des histoires pour des maisons d’éditions canadiennes et internationales. Elle a culbuté avec des lions de mer, écrit sur sa visite du musée de Bardo en Tunisie près d’un mois suivant les attaques terroristes, puis a rédigé une courte biographie sur la vie d’un moine qui aide des jeunes femmes à se sortir de la pauvreté au Cambodge.

L’intérêt de Johanna pour le voyage s’est développé en une passion vers le tourisme responsable. Elle aide maintenant les voyageurs, bureaux de tourisme et différentes compagnies à mieux comprendre comment leurs décisions peuvent protéger ou constituer un danger pour la culture, l’économie ou l’environnement de l’endroit qu’ils visitent. Cette nouvelle forme de service-conseil pourrait être une conciliation parfaite de sa passion pour le service public, les voyages et le leadership. êtes-vous un voyageur ? Suivez les récits de Johanna au www.TravelEater.net.

 
 

Lekan Olawoye (2012) a réussi à rassembler une superbe brochette de jeunes leaders et innovateurs Canadiens dans le cadre du Sommet national de la stratégie sur le leadership et l’innovation chez les jeunes. « Nous avons un système national qui nous permet de développer des joueurs d’hockey », dit-il. « Nous avons besoin d’un même niveau d’engagement pour développer les jeunes leaders et innovateurs du Canada. » a ajouté M. Olawoye lors d’une entrevue avec le Toronto Star. Le sommet s’est déroulé les 29-30 avril derniers, dont M. Brian Gallant, le plus jeune premier ministre provincial (âgé de 34 ans) a présenté un discours d’ouverture. Le ministre fédéral de l’innovation, des Sciences et du Développement économique Navdeep Bains, âgé de 38 ans, faisait aussi partie des conférenciers invités.

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Peter Johnston (2015) sera bientôt nommé en tant que Grand Chef du Conseil des Premières Nations du Yukon en juin lors de sa prochaine assemblée générale. La Première Nation de Little Salmon/Carmacks sera l’hôte de l’assemblée qui se déroulera à Airport Lake, du 28 au 30 juin prochain. Pour en savoir plus
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GGCLC Geoff Wright photo

Geoff Wright (2012) fut récemment nommé en tant que nouveau Commissaire des transports et services publics de la ville de Mississauga. Geoff dirigera l’un des plus importants départements de la ville qui est responsable entre autres des services de transit, des travaux opérationnels et de maintenance, du transport et de l’infrastructure, en plus des services d’ingénierie, de construction, de surveillance sans oublier la construction du projet de train léger de l’Hurontario (HRLT).
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GGCLC Sandra Laronde photo

Sandra Laronde (2008) coordonnera en 2017 une initiative musicale importante pour l’Orchestre symphonique de Toronto dans le cadre des célébrations du 150e anniversaire du Canada. Sandra est la fondatrice et la directrice artistique de Red Sky Performance, la plus importante troupe autochtone des arts de la scène. Elle agit aussi en tant que directrice des arts autochtones au Banff Centre.

Sandra détient un baccalauréat en arts de l’université de Toronto, et un diplôme honorifique en droit de l’université Trent. Elle est originaire de Teme-Augama-Anishinaabe (Peuple des eaux profondes) à Temagami, situé au nord de l’Ontario.

 

GGCLC Rany Ibrahim photo

Rany Ibrahim (2015) fut reconnu et honoré en tant que bénévole de l’année en Nouvelle-écosse, prix qui lui a été présenté par l’honorable J.J. Grant, lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-écosse et le premier ministre Stephen McNeil.

La citation se lit comme suit : « Rany est un immigrant canadien qui a su utiliser ses connaissances pour venir en aide aux autres, immigrants ou non. Rany contribue à la fois énergie, ses connaissances organisationnelles, ainsi que ses habilités en rédaction et en tant que conférencier pour aider les autres. Celui-ci utilise les médias sociaux de façon créative pour sensibiliser les gens sur le dossier des réfugiés. Rany est dévoué à faire de la ville d’Halifax un endroit vibrant et diversifié. Merci Rany. »
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GGCLC Pascale Fournier photo

La Professeure Pascale Fournier (2015) reconnue à l’échelle internationale pour sa contribution significative à l’avancement des droits des femmes, s’est vu décerner la prestigieuse médaille Gloire de l’Escolle, soit la plus haute récompense décernée par l’Association des diplômés de l’Université Laval. Ce prix a pour but de souligner les succès de diplômés qui font honneur à leur profession en étant des exemples pour les futurs diplômés. En 2016, Pascale fut aussi lauréate du Prix d’excellence en enseignement de la capitale 2016, décerné par le Réseau d’Ottawa pour l’éducation (ROPE), en plus de recevoir une place au « mur des Grands diplômés » du Cégep Garneau.

Pascale Fournier est professeure titulaire à la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa et récipiendaire de la Chaire de recherche sur le pluralisme juridique et le droit comparé. Auteure de plus d’une quarantaine de publications, elle siège également à titre de Commissaire à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.

Andrew Dale, ancien 2008 et president du comité regional du Nord de l’Ontario en 2015, est l’instigateur d’un projet ambitieux à Sudbury, sa ville de résidence, afin d’y construire un nouvel aréna muni d’un centre multifonctionnel pouvant accueillir des événements.
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GGCLC Tim Thompson photo

Félicitations à Timothy Thompson (2012) qui s’est vu décerner le prix des anciens étudiants engagés (Alumni Student Engagement Award) par l’association des anciens de l’université McGill lors de leur souper annuel de remises de prix, le 10 mai 2016. Chaque année l’association des anciens de l’université McGill honore des anciens, amis, étudiants et employés qui se sont démarqués par leur engagement envers l’université et la communauté des anciens.

 

Scott Ferguson (2000) a récemment déménagé à New York après avoir obtenu le poste de chef de la direction de la World Trade Centers Association, Inc. Scott a donc quitté son poste de PDG chez Halifax’s Trade Centre Ltd.
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GGCLC Patti Balsillie photo

Patti Balsillie (2008) est la première présidente du Prix Inspiration Arctique (PIA), un organisme de charité soutenu par la Fondation Rideau Hall. Le PIA reconnaît et encourage les équipes qui ont contribué de façon significative à la collecte de savoirs sur l’Arctique et qui ont fourni des plans tangibles pour transformer ces connaissances en applications concrètes, pour le bien de l’Arctique canadien, des peuples arctiques et par conséquent du Canada tout entier. Pour plus d’information, consulter www.arcticinspirationprize.ca ou www.pattibalsillie.com.

Patti préside aussi le Conseil d’administration du Yukon College, puis aide avec le projet de convertir le collège en une université. Peu après son passage à la CCGGL, Patti ouvert sa propre firme de consultation, dont celle-ci a grandi au fil des ans pour maintenant offrir des services de leadership et de planification stratégique auprès du secteur caritatif, du tourisme et auprès des communautés. En 2013, Patti a complété le programme de segmentation des marchés, le quotient explorateur, offert par Destination Canada. Depuis, celle-ci fait des présentations sur le développement et l’expérience touristique du Yukon un peu partout au pays et même à l’international.

 

GGCLC Michael Hale photo

Michael Hale (2008) a écrit : « J’ai cru bon de souligner une source de fierté pour les anciens de la CCGGL du Yukon. Le Grand Chef du Conseil des Premières Nations, le ministre de l’énergie, des Mines et des Ressources, le Chef de Cabinet du premier ministre, le directeur général de la plus importante Première Nation autonome (et candidat aux élections territoriales), le sous-ministre de la Justice, le sous-ministre des Services communautaires, la présidente de la Fédération du travail du Yukon et la directrice générale de la deuxième plus importante Première Nation sont tous des anciens de la CCGGL. Pas mal, n’est-ce pas ? »

 

GGCLC Manitoba Meet and Greet image

La réunion des anciens du Manitoba couronnée de succès !

Le 1er juin dernier, des candidats potentiels pour l’édition 2017 ont eu l’opportunité de discuter avec des anciens de la CCGGL provenant de plusieurs secteurs. Ces derniers ont partagé leurs expériences lors de leur passage à la Conférence. Merci aux organisateurs et à MNP LLP, l’hôte de la soirée.

Jeff Horvath Picture

Six questions adressées à Jeff Horvath (2012)
Directeur, école secondaire Tsuut’ina

 

Quel est votre rôle actuel dans le système d’éducation ?

Je suis le directeur de l’école secondaire Tsuut’ina de la Première Nation Tsuu’tina, près de Calgary, en Alberta.

Pourquoi avez-vous décidé de faire carrière dans le domaine de l’éducation ?

Quand j’étais jeune, je voulais aider les gens, plus particulièrement les Autochtones. Je me suis rendu compte que je nouais facilement des relations. L’éducation me semblait un domaine où je pourrais réaliser ma passion et user de mes forces. Ma mère était aussi une enseignante qui avait étudié à l’école résidentielle St. Mary’s à Kenora, en Ontario. Elle a quitté cet établissement après trois années de sévices et d’abus. Pendant mon enfance, elle travaillait en entretien ménager, une activité qu’elle avait apprise à l’école. Quand j’étais en septième année, elle est retournée aux études. Elle a terminé son secondaire en quatre trimestres, puis est allée à l’Université de Calgary afin de compléter un diplôme en littérature anglaise et un autre en éducation.

Son parcours m’a inspiré et montré que l’éducation pouvait aider les membres des Premières Nations à guérir et atteindre une « belle vie ». Cette belle vie est différente pour chacun, mais elle représente le bien-être pour tous les individus et toutes les familles dans nos communautés. Tous les Canadiens devraient apprendre ce que sont les traités et le passé des écoles résidentielles. Une réelle réconciliation ne peut se produire que si tous comprennent que nous sommes tous liés à des traités et qu’ils soient familier avec l’historique de notre nation.

Quelles qualités de leader faut-il pour diriger une école consacrée aux enfants issues des Premières Nations ?

En tant que leader, je dois surtout établir des relations saines et fiables avec les élèves et leurs familles. L’histoire des pensionnats a rendu plusieurs familles méfiantes envers les établissements d’enseignement. La plupart de nos écoles sont bien différentes des pensionnats de l’époque, mais le doute persiste. L’expérience du pensionnat était destinée à « tuer l’Indien dans l’enfant », mais elle a en fait « tué l’enfant dans l’Indien », et nous écopons depuis des conséquences qui en ont découlé. Je le vois chaque jour lorsque les enfants descendent de l’autobus. Mais malgré ce que rapportent les médias, les peuples autochtones connaissent actuellement une véritable renaissance. Un grand nombre d’entre nous ont guéri ou n’ont pas vécu ces traumatismes (bien que je n’en ai pas rencontré beaucoup qui n’en ont pas vécu) et vivent maintenant une « belle vie ». Nous espérons voir la fin du cercle vicieux avec nos enfants porteurs d’avenir maintenant que nous en comprenons mieux la source. Tout le monde a un rôle à jouer dans la réconciliation.

D’après vous, les enfants qui fréquentent votre école croient-ils qu’ils peuvent réaliser leurs rêves comme tous les autres enfants Canadiens ?

Cette question est très importante, parce qu’en tant qu’éducateur, je veux qu’ils croient que leurs chances sont égales. Mais quand on considère l’histoire, les statistiques, le sous-financement et les conditions sociales que beaucoup de nos jeunes font face, j’ai du mal à le croire moi-même. De plus, nous savons que bon nombre de nos jeunes vivent dans la pauvreté et qu’il existe un « racisme institutionnalisé », ce qui constitue un défi pour l’avenir. Il est difficile d’imaginer qu’il y a de l’espoir pour nos jeunes dans une société où l’on est trop souvent jugé sur des bases raciales, les présomptions du Canadien moyen concernant les droits, l’histoire et l’expérience des Autochtones. Il reste du chemin à faire, du moins pour bon nombre d’entre nous.

Votre participation à la Conférence sur le leadership vous a-t-elle apporté des outils ou des perspectives qui ont contribué à l’avancement de votre carrière ?

La Conférence m’a donné l’envie de relever ce défi. Pour un leader autochtone, le rôle de directeur d’une école autochtone est important d’un point de vue historique. Je suis honoré du fait que notre communauté me confie l’éducation de ces jeunes. Nous savons que leur éducation est un élément fondamental de leur vie et de leur cheminement. La Conférence m’a exposé à des leaders qui sont aussi à un moment important de leurs carrières. Nos conversations, notamment sur nos expériences respectives, m’ont beaucoup éclairé. Les leçons de vie que nous avons reçues des gens que nous avons rencontré tout au long de notre voyage d’étude continuent de m’inspirer tous les jours. Cette expérience très enrichissante bénéficiera ma carrière et ma vie à jamais.

De quelle manière la Conférence et ses anciens peuvent-ils faciliter le processus de réconciliation entre les membres des Premières Nations et la culture populaire ?

Développer les connaissances et une base commune aideront avec la réconciliation. Pour comprendre la complexité de l’histoire des relations entre les Canadiens autochtones et non autochtones, il faut avancer. La Conférence ouvre, pour des gens qui doivent souvent prendre des décisions au sein de leurs organisations, une nouvelle fenêtre sur le sujet. En s’assurant que plus de leaders Autochtones prennent part à la Conférence, soit près de 50 en 2017, nous faisons un grand pas en avant. Le dialogue et le partage sont des composantes essentielles à la réconciliation, et la Conférence constitue une plateforme importante pour ce genre d’expérience et processus d’apprentissage.

Les anciens démontrent un vif intérêt envers un programme et une association des anciens

 

Le sondage de la CCGGL effectué auprès de ses anciens plus tôt cette année a démontré un très grand intérêt pour mettre sur pied un programme unique des anciens à travers l’ensemble du pays, incluant la formation d’une association des anciens. En résumé, 82% des anciens ayant répondu au sondage, 43% de ceux-ci ont affirmé qu’ils étaient intéressés, et 39% se sont dit très intéressés à former une association. Les anciens des éditions récentes (2012 et 2015 en particulier) ont démontré l’intérêt le plus marqué (plus de 90%). En tout, 65% des répondants se sont dit très intéressés (15%), ou intéressés (50%) à contribuer au financement d’une telle association par l’entremise de cotisations ou de dons personnels.

 

Presque tous les anciens, et ce peu importe leur degré d’intérêt envers la création d’une association formelle, ont démontré un grand intérêt envers un programme d’activités qui serait destiné aux anciens durant la plénière de clôture de la Conférence 2017. à cet effet, 89% des répondants ont mentionnés qu’ils auraient l’intention de participer à un programme qui inclurait une table ronde accompagnée de conférenciers invités, tandis que 86% souhaiteraient participer à un souper ou une réception pour les anciens.

 

Le Conseil d’administration de la CCGGL fournira plus de détails prochainement afin de vous informer des développements concernant le programme des anciens qui se déroulera lors de la plénière de clôture à Ottawa-Gatineau les 15 et 16 juin 2017.

 

PRÉSIDENTS ET COPRÉSIDENTS RÉGIONAUX 2017
RÉGION NOM
Colombie-Britannique Michael Matsubuchi
Alberta Cory Royal
Alberta Sherri Wilson
Saskatchewan Laurel Garven
Saskatchewan Alastair MacFadden
Manitoba Marie Buchan
Manitoba Leanne Douglas
Ontario John Elvidge
Ontario – Sud-Ouest Tobi Day-Hamilton
Ontario – RGT Josephine Archbold
Ontario – RGT Shari Mackay
Ontario – Nord Brian Marks
Ontario – Est Mark Schaan
Québec Isabelle Foisy
Nouveau-Brunswick Yves Pelletier
Nouveau-Brunswick Nadine Duguay
Nouvelle-écosse David Alderson
Nouvelle-écosse Jennifer Chiasson
Ile-du-Prince-édouard Doug Newson
Terre-Neuve-et-Labrador Lisa Browne
Terre-Neuve-et-Labrador Kerry Murray
Yukon Vikki Quocksister
Yukon Roxanne Vallevand
Territoires du Nord-Ouest Mark Cliffe-Phillips
Territoires du Nord-Ouest Yvonne Doolittle
Nunavut Christine Lamothe
Nunavut Karen Kabloona
Nunavut Charlie Tautuajuk